Correspondances
Correspondances
© Photo : Poema 2021 – DR
ATELIERS D’ÉCRITURE – ARTS PLASTIQUES
Tout public et scolaire
David Dumortier, poète
Sidonie Hollard, plasticienne
Ce projet intergénérationnel initié par la médiathèque comporte un volet tout public et un volet scolaire.
La correspondance est au coeur des traces que l’on laisse, que l’on transmet. Grâce aux ateliers d’écriture avec David Dumortier et aux ateliers de création plastique avec Sidonie Hollard, les regards se croisent et les histoires se partagent lors d’échanges épistolaires entre jeunes de primaire, de lycée, adultes et personnes âgées.
Le + : samedi 11 mars, la médiathèque accueille Music-Hall Poésie , spectacle pour petits et grands, de et par David Dumortier.
En partenariat avec la Communauté de Communes de Mirecourt Dompaire et la médiathèque de Mirecourt.
Partenaires associés : les écoles de Mirecourt et d’Harol, le lycée professionnel La Providence d’Harol, l’Ehpad de Ville-sur-Illon.
Intervenants
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David Dumortierpoète
Né en 1967 dans une ferme agricole et ayant travaillé 10 ans en milieu psychiatrique, David est un poète jeunesse et adulte ainsi qu’un traducteur arabe. Il ne se considère pas comme un poète engagé mais plutôt comme un poète qui a dégagé tout ce qui était inutile autour de lui et a commencé à réduire ses consommations. David aime jouer avec les mots comme un jongleur. Il aurait aimé être “un clown pour voir le monde à l’endroit en le mettant à l’envers”. David défend la liberté simple des jours ordinaires et de ses petits plaisirs, comme allumer sa cheminée, lire en arabe un texte du moyen-âge, ramasser des plantes sauvages.
Il a publié plus de vingt-cinq livres et a ce rare talent de ravir les enfants et d’enchanter les adultes. Ses plus récentes parutions sont “Les comptines de Madame Louise au Éditions ACTES-SUD (2019) ou encore “52 petits mensonges et quelques vérités” aux Éditions Rue du Monde (2017). -
Sidonie Hollardplasticienne
Née à Épinal, diplômée des beaux-arts, elle vit maintenant en Meuse, au milieu de la forêt. Elle parle souvent de petites mythologies personnelles pour décrire son travail d’artiste :
un monde en construction, guidé par une narration sans début, ni fin.